Kopia
Mathématique, symbolique, esthétique.
En parcourant internet en 2007 pour trouver le joaillier où il offrirait un prochain cadeau pour son épouse, Monsieur Fabrice B. découvre mes créations. Entre passionnés, (il affectionne l’histoire, les sciences, l’ésotérisme, les arts, la science-fiction, diverses collections…) le contact passe tout de suite et une première création, une Malévitch, vient étoffer la dactyliothèque de Madame B. Puis une Navona en 2016 et une Mamona en 2021.
Lui même amateur de bagues, il porte toujours des créations gothiques ou cyberpunk, et fasciné par les opales, il décide un jour de franchir le pas pour réaliser « sa » bague.
Le choix de la pierre fut rapide : une opale noire d’Éthiopie.
Le cahier des charges fut aussi très simple : rien qui ne ressemble à une chevalière !
Facile… En ce cas, le défi est de donner réalité à une idée diffuse.
Nous nous rencontrons donc à nouveau, afin de mieux se connaître et concrétiser un projet.
En cherchant une ligne directrice, nous évoquons l’architecture, puis le nombre d’or -1,618-, les Pyramides, et soudain l’idée a surgi.
Là comme ça : une bague ET une sculpture, s’inscrivant dans la Grande Pyramide de Khéops, avec ses deux côtés inclinés à 51° ; une gageure.
De nombreuses retouches du croquis initial, échanges de mails et défis techniques plus tard, Kopia était née
Dernier rendez-vous avec Fabrice : ouverture du coffret et premier essayage.
« Posée, elle ressemble à une station spatiale dans Valérian, retournée c’est une pyramide, elle possède douze angles ,…
Pourquoi Kopia ?
K pour Khéops,
O pour opale
Pia pour Ethiopia